|    LE FIGARO 29 AVRIL 1965
 LA SCULPTURE AUX INDÉPENDANTS Nous avons parlé la semaine dernière 
                          du Salon des Artistes Indépendants (1) sous l’angle 
                          de la peinture et il nous a paru utile de mentionner 
                          ici l’importance des envois concernant la sculpture. …… Une poésie saine mais vraie émane de 
                          ce groupe de sculpteurs, concrétisée – 
                          si l’on peut dire – dans les formes pleines 
                          mais inachevées, aux membres non finis des œuvres 
                          de Khoubesserian (DIKRAN) et de Rogissart … poésie 
                          d’artistes insatisfaits qui voient toujours plus 
                          loin. En un mot, nous nous trouvons ici, devant une 
                          sculpture en plein essor, en pleine vitalité. Sabine Marchand(1) au Grand Palais jusqu’au 16 mai
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                            |  | LA 
                                REVUE DU LIBAN ET DE L'ORIENT ARABE11 FEVRIER 1975
 Dikran Khoubesserian "Sculpteur" |  La Galerie Studio 27 nous avait habitués à 
                          y rencontrer des pejntres ayant, un nom au Gotha des 
                          artistes : Shart, Jéranian, Massa, Zito, et bien 
                          d'autres; je crois que c'est la première fois 
                          qu'elle nous révèle un sculpteur venu 
                          de l'étranger.   Son curriculum vitae est des plus curieux.  Dikran Khoubesserian, né le 25 avril 1913 à 
                          Mersine, fait des études à Paris, puis 
                          rejoint ses parents installés à Beyrouth, 
                          et s'initie chez un ami à la peinture et à 
                          la sculpture. Il avait déjà en main un 
                          diplôme d'architecte. Mais l'envie de sculpter 
                          est si forte que vous comprenez fort bien que le succès 
                          dépend beaucoup de cette vocation intime sans 
                          laquelle il n'est point de dépassement. :: 
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  TF1 MAGAZINEMENSUEL N°5
 MAI 1986
 DIKRAN - BEAUGRENELLE
 Ce sont des femmes-ligne, gracieuses et enveloppantes, 
                          toutes sculptées dans le bronze. Comme les autres 
                          créatures de DIKRAN, un sculpteur autodidacte 
                          d’origine arménienne. Il travaille de puis 
                          1945 et expose depuis plus de 20 ans, au salon d’Automne 
                          à Paris, notamment. Chacune des oeuvres est moulÈe 
                          en 8 exemplaires originaux et 4 Èpreuves d’artiste. 
                          Les mini-sculptures à 100 exemplaires et 20 Èpreuves 
                          d’artiste. Ces sculptures de bronze, vous pourrez 
                          les admirer au 13 au 27 mai, à l’Espace-Club 
                          Beaugrenelle.
 
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  L’INGÉNIEUR-CONSTRUCTEURRevue Technique Mensuelle
 Notre camarade DIKRAN expose des sculptures fort harmonieuses 
                          à la Galerie Cardo-Matignon, 32 ave Matignon, 
                          Paris (8e).
  DIKRAN, B.33, dont nous avons déjà parlé, 
                          a le sens du volume, de l’arabesque, de la ligne 
                          qui enveloppe et cerne. Cet ensemble très stylisé, 
                          coulé le plus souvent en bronze, nous émeut 
                          par ses lignes pures : rien n’est superflu; 
                          les ombres et lumières jouent sur ces surfaces 
                          lisses, sur ces formes caressées et adoucies 
                          par des doigts sensibles. DIKRAN a su créer un 
                          genre fort personnel, un monde où nous sommes 
                          pris par la qualité émotionnelle qui s’attache 
                          à l’œuvre sentie, créée 
                          dans la parfaite harmonie de la ligne et des volumes. Jean-Pierre BAYARD T.P.42Juillet 1971 N°160
 
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                            |  | LE 
                              SOIR 6 FEVRIER 1975
 |  Né en 1913 à Mersine (Turquie) de parents 
                          arméniens.  Etudes d'architecture à l'école spéciale 
                          des travaux publics. A 22 ans, il reçoit le diplôme 
                          d'architecte. Il séjourne de 1933 à 1&53 
                          à Beyrouth s'adonnant aux travaux d'architecture. 
                          En 1945, il modèle sa première tête. 
                          En 1950, il passe six mois à l'académie 
                          de la grande chaumière et vit en permanence à 
                          Paris depuis 1953.  En 1963, il expose ses œuvres à la galerie 
                          Ror-Volmar (Paris). Il participe aux salons d'automne 
                          des années 63, 65 et 67 et prend part au salon 
                          des indépendants des années 65, 66, 67, 
                          68 et 69. Il participe par ailleurs aux expositons suivantes 
                          : Salon des artistes français (65-67); biennale 
                          des Beaux-Arts au Musée d'Art Moderne (1968) 
                          : galerie Bernheim — Jeune (1968); expose en permanence 
                          depuis 1967 à la galerie Régis Langloys, 
                          rue St-Honoré.  Dikran Koubessarian viendra à Beyrouth pour 
                          exposer ses œuvres au STUDIO 27 du 13 février 
                          jusqu'au 1er mars.  Pour Dikran, l'aventure commença donc en 1945, 
                          un jour, quand il modela chez , son ami peintre - sculpteur 
                          — ne serait-ce pas dans l'atelier de Gaïentz 
                          situé au bord de la mer, à Ain Mreissé 
                          ? — Une petite tête et devint en 1963 une 
                          vocation définitive quand il se décida 
                          à exposer ses œuvres à la galerie 
                          Ror-Volmar à Paris. Dikran est vraiment un sculpteur 
                          au sens où il n'a pas cherché à 
                          l'être, mais où toute sa sculpture le prouve. 
                          Au fond, il nous apparaît très ambivalent. 
                          Jusqu'en 1963, il exerça très régulièrement 
                          sa profession d'architecte d'abord à Beyrouth, 
                          ensuite à Paris.  Mais ses moments de loisir, il les passait avec ses 
                          amis artistes : Georges Cyr, Galentz, Chart, Sonia Harris. 
                          Je crois même que c'est Galentz qui l'avait poussé 
                          au départ.  La sculpture de Dikran se situe dans la ligne des 
                          aspirations modernes. Elle a pour objet la femme et 
                          son corps. La beauté chez lui n'obéit 
                          à aucun canon, aucun critère. En sculptant, 
                          il traduit sa vision charnelle de l'amour qu'il nous 
                          livre à travers la stylisation des formes.  L'occasion est belle de faire connaissance avec les 
                          œuvres de ce sculpteur original et créateur. Y. :: 
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                            |  | L’heure 
                                de Paris 17eJuin 1977
 Un Arménien dans le 17e : 
                                Le sculpteur DIKRAN |   C’est à la maison de la culture Arménienne 
                          « Alex Manoogian» 118 rue de Courcelles 
                          que s’est tenue mi-juin, l’exposition des 
                          œuvres de Dikran, organisée par Mme Zelugian. Cette véritable ambassade des arts et de l’esprit 
                          d’Arménie, accueille en effet, de nombreuses 
                          manifestations telles que, des spectacles, des concerts 
                          et des expositions.C’est aussi un lieu de rencontre où les 
                          jeunes qui parlent la langue de leurs parents viennent 
                          se perfectionner et quelquefois apprendre à lire 
                          et à écrire ces caractères différents 
                          des nôtres.
 Au cours du vernissage de l’exposition, le Docteur 
                          Philipe Lafay écoute les explications de l’auteur 
                          de ces belles sculptures où se retrouvent, comme 
                          dans la plupart de ses œuvres, les lignes harmonieuses 
                          de la femme. :: 
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